14e CAN-Ouest au Mesnil-Rouxelin


Samedi 28 janvier 2017, de 14 à 18 h — Le-Mesnil-Rouxelin

Cette nouvelle réunion, la deuxième, organisée après le rassemblement du 1er et 2 octobre 2016 (cf. ci-dessous) devait décider de l’avenir de ce collectif (poursuite — mais avec quels objectifs — ou dissolution). Mais pas que !

aff-flamanvillle-2016-1La décision de poursuive l’activité de ce collectif comme outil permanent de mobilisation sur le Grand-Ouest est reconduite. Idem pour son site, ses notifications, etc. D’ailleurs, l’opportunité de poursuivre pourrait bien être visible prochainement !

La construction de l’EPR arrivant le 11 avril 2017 à l’échéance des dix ans de chantier autorisé par le décret de création du troisième réacteur de Flamanville — alors qu’il est encore loin d’être terminé —, dès la publication du décret de prorogation le collectif diffusera un communiqué de protestation et appellera à un rassemblement devant la préfecture de Saint-Lô, le samedi suivant sa parution !

L’ordre du jour, les débats, délibérés et compte rendu sont réservés à ses adhérents et sympathisants et ne sont bien évidemment pas disponibles à tous. Cependant, le CAN-Ouest dispose d’un site dédié à destination du public, ici : .


Le CAN-Ouest, ou Collectif anti-nucléaire de l’Ouest s’est constitué en début d’année 2015, en vue de préparer le rassemblement antinucléaire le 1er et 2 octobre 2016 de Flamanville (50), dont le thème était : « NUCLÉAIRE, ÉNERGIE DE DESTRUCTION MASSIVE — Non au rafistolage des vieux réacteurs ­— Non à la mise en marche de l’EPR ». Il regroupe des associations, partis politiques, syndicats et particuliers.


Illustration : logo et affiche (l’événement est passé)du CAN-Ouest.

Droit de suite. Le décret de prolongation passant l’autorisation de construction du réacteur EPR de Flamanville de 10 ans à 13 ans est finalement paru le 8 février 2017. Le e rassembler samedi 11 février à 11 h devant la préfecture de St-Lô.

SdN 72 ne sera malheureusement pas de ce rassemblement. Le temps de mobilisation trop court, nos militants déjà engagés ou mobilisés ailleurs, indisponibles voire saturés de déplacements (au congrès du Réseau ce même week-end à Sète, sur le rassemblement de Béner, dans la présidentielle ou s’étant déjà déplacés plusieurs week-ends successifs à St Lô, Joué-les-Tours, Blois) ont fait défaut malgré eux.